Francisco Montaner Farré | Licencié en Droit | Professeur Mercantile |
GLOBALISATION
ET ANTI-GLOBALISATION ![]() GLOBALISER LE LOGEMENT À UN COÛT NUL |
CONTENU | |
- Commentaire et dénonciation | |
- Globalisation et anti-globalisation | |
Remarque préliminaire. Méthode. Garanties | |
- Globaliser le logement | |
Description du Projet | |
Exemple pour 500 logements, avec un coût nul | |
Confirmation: Construire des logements en nombre illimité. | |
- Tableaux d'amortissement 1 et 2 | |
Formation de réserves ordinaires destinées à l'éducation. | |
Evidence: Il n'existe pas d'endettement. | |
- Tableaux d'amortissement 3, 4 et 5 | |
Création inédite de réserves financières destinées à la Recherche et au Développement et à la lutte contre la pauvreté. | |
Il n'existe pas d'endettement. | |
- Bons émis par l'Union Européenne | |
Nets avantages par rapport aux Bons USA ou n'importe quel Bon d'intérêt fixe. Rentabilité supérieure. | |
LES SEULS avec une prime d'amortissement de 50% ou plus. | |
Il n'existe pas d'endettement. | |
- Concept et analyse des excédents | |
Totalité des capitaux liquides, disponibles à COÛT NUL, destinés à des organisations nationales et aide authentique au développement des pays pauvres. | |
- Capacité et réponse des marchés financiers face à l'émission de BONS DE LA COMMUNAUTÉ EUROPÉENNE | |
Commentaire difficile à réfuter et encore moins à contredire. | |
Le Projet n'est pas exclusivement pour l'Union Européenne: il est exécutable par n'importe quel pays de n'importe quel continent. | |
Les interventions des ONG locales doivent être décisives. | |
- Défi final |
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Le soutien des moyens de communication doit être déterminant | |
COMMENTAIRE ET DÉNONCIATION |
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Ce site Web est un appel à toutes les organisations ONG et à leur volonté de service. Il existe une organisation dont les objectifs sont l'obtention de l'implantation d'une taxe sur les transactions financières. C'est une aspiration sur un temps indéfini et il est quasiment impossible de réunir des bonnes volontés qui l'acceptent. Par contre, ici nous proposons dès maintenant un pourcentage immédiat sur les Réserves qui sont formées dans mon Projet de construction illimitée de logements auto-financés, c'est-à-dire, de coût nul. C'est un Projet amplement décrit et raisonné dans mes deux livres, LA TROISIÈME VOIE, actuellement épuisés, éditions de 1984 et 1999. Dans cette dernière édition, je suggère un pourcentage minimum de 2 à 5 pour cent des Réserves qui sont obtenues dans les programmes de construction, comme aide à la lutte contre la pauvreté. Dans l'exemple développé pour prouver et affirmer ce que j'expose, avec un petit Programme de 500 logements, 2% des réserves représente 209.830 euros. Ces mêmes logements pour chacun des quinze pays de l'Union Européenne, 2% des réserves représenteraient 3 147 450 euros. Ma question est la suivante: quel est le déficit de logements dans l'Union Européenne y compris les pays en attente d'intégration ? Réponse : calcule toi-même les recours immédiats disponibles qui peuvent être destinés au développement, si le Projet que je défends est étudié, accepté et exécuté par la Commission Européenne. Par conséquent, la première action des ONG, unies dans une volonté unique, est de faire en sorte que la Commission reçoive le Projet pour pouvoir l'analyser sérieusement. La dynamique financière spéciale que je décris engendre des réserves suffisantes pour créer des emplois en masse, condition nécessaire pour faire disparaître la pauvreté. Les résultats immédiats de ce Projet sont : Globalisation du logement, travail permanent et éducation pour tous, sans exceptions. |
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Motifs de ce site Web |
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Le motif en est simple. Depuis 1984, cela fait 17 ans que j'essaie en vain
d'attirer l'attention sur ce Projet . Je l'ai présenté aux
sources du pouvoir, Gouvernements et leurs ministres, députés
et sénateurs, dirigeants politiques et syndicaux, le patronat et
les banques, la Commission Européenne et le Parlement Européen,
obtenant le résultat unanime et solidaire suivant : mis à
part quelques accusés de réception, je n'ai reçu aucun
commentaire. Les conclusions auxquelles j'aboutis dans ce Projet sont rigoureusement
exactes. Si les personnes mentionnés n'ont pas compris mes explications
et mes calculs, l'orgueil les a empêchés de me poser des questions,
à moins que ce soit pour ne pas se mettre en évidence. Peut-être
aussi que, par principe partisan, ils considèrent inacceptables des
projets étrangers. Le fait que l'organisation qui aspirait à l'implantation d'une taxe sur les transactions financières, et à laquelle j'ai envoyé le 8 octobre dernier une copie de ce projet à 50 de ses principaux sièges en France, en Belgique et en Suisse, n'ait même pas eu la courtoisie de confirmer la réception des documents, a été pour moi une autre frustration. Bref, un exemple de plus à ajouter à la longue liste précédente. Après 17 ans de tentative dans ce que l'on pourrait appeler une mission impossible, je vais utiliser les moyens que m'offre la Globalisation des communications pour lancer un appel à toutes les personnes de bonne volonté, sans distinction d'âge, d'ethnies, de couleur, de tendances politiques ou de croyance religieuse, pour lutter ensemble contre la pauvreté dans le monde, parce que j'offre dans le domaine économique des outils qui nous permettent de disposer de ressources suffisantes pour y arriver sans problèmes. C'est pourquoi je pense que les ONG sont idéales pour assumer l'engagement de leader du Projet. Pour réussir à faire démarrer le projet en Europe avec le slogan Pour un logement propre, un emploi et une éducation, il est prioritaire de mobiliser la conscience des quinze pays qui forment la communauté, plus tous les pays qui aspirent à en faire partie, pour réveiller la Commission Européenne et les Commissaires des secteurs économique de leur apathie, pour qu'il acceptent la discussion ouverte sur le projet et qu'il émettent un verdict fondé. On ne peut ignorer un Projet sans le connaître ni l'analyser. Nous souhaitons une Europe disposant d'une unité économique commune et aidant à tous de façon équiparable, qui ne soit conditionnée par aucune pression politique ni par aucun intérêts individuels ou collectifs. Ce Projet n'interfère pas dans les droits ou les priorités des pays et ne demande pas non plus de sacrifice particulier, car chaque Nation s'occupera de ses propres besoins au sein du Projet commun. |
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GLOBALISATION ET ANTI-GLOBALISATION |
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Observation préliminaire |
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N'importe quel projet de Recherche et Développement requiert des sommes d'argent importantes. Sans argent, tout se limite à de bonnes intentions. Le Projet que je présente résout ce problème en s'auto-finançant, avec la particularité que plus les programmes de développement sont ambitieux plus les fonds générés sans endettement, libres et de disposition immédiate sont importants. | |
Procédé |
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Au travers de l'exposé des idées, de commentaires et de calculs financiers soumis au plus strict contrôle, je suggère que la façon de soutenir l'antiglobalisation consiste à proposer la globalisation du logement, de l'emploi, de l'éducation, de la santé, du développement et d'obtenir la lutte effective contre la pauvreté dans le monde. | |
Garanties |
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L'exécution du Projet décrit garantit: | |
- La construction, incitée par les Etats, de logements en nombre illimité à des prix juste et accessibles. La limitation se présentera seulement en cas de saturation de la demande. | |
- Un investissement NUL dû au fait que les droits d'encaissement de la vente des logements équivaut à l'obligation de payer le coût des travaux. | |
- La création d'emploi en masse. | |
- Une différence positive importante entre le prix de vente et le prix de revient des logements, celle-ci étant libre et disponible pour des investissements concrets. Ce sont les dénommées réserves ordinaires destinées de préférence à | |
- L'éducation, priorité nationale. La Santé. Les assurances sociales. | |
- · Des opérations financières, décrites de façon adéquate, permettent la formation de réserves financières très supérieures aux ordinaires, libres et disponibles pour | |
- La Recherche et le développement. | |
- Des Fonds de secours au Tiers-Monde pour qu'il puisse vaincre la pauvreté grâce à son propre travail sans avoir à dépendre des aides humanitaires. Avec un logement et un travail ces peuples pourront aspirer au développement grâce à leurs propres efforts et ils sortiront de leur existence misérable. | |
- La Capitalisation des excédents qui apparaissent dans l'exécution du système, sans aucun type d'endettement et d'un montant insoupçonnable, est destinée à | |
- L'exécution de grands projets d'infrastructures | |
- L'amortissement des différentes émission de Bons ( voir le détail dans les tableaux d'amortissement ), avec une prime nette de 50% de la valeur nominale | |
En résumé, ceci est ma participation auprès des contestataires présents et non présents de la concentration de Genève. Une alternative à la globalisation, pour avoir compris que la globalisation n'est pas mauvaise en elle-même sinon qu'elle est suspecte parce que excluant; suspecte et inopportune; mais on ne peut ignorer sa présence et sa poussée. Globalisation est une expression de contenu ambigu, susceptible d'éveiller les propos les plus justifiés pour la combattre. Si l'on considère la globalisation comme l'expansion universelle des multinationales, avec un potentiel économique absorbant orienté vers la création de marchés générateurs de succulents dividendes, il est évident que la globalisation ne tient pas compte du facteur humain ni de ses nécessités. Il est également certain que la voracité de ses spéculateurs remue d'énormes quantité d'argent de façon instantanée à travers tout le globe, attaquant des entreprises, manipulant des devises et des bourses avec de l'argent, des nouvelles et des rumeurs. Il est tout aussi certain d'affirmer que la globalisation incontrôlée, promue par seule soif de richesse, mène inexorablement à approfondir les inégalités entre pays riches et pays pauvres, dans le sens le plus strict de richesse et pauvreté. Les actions de l'anti-globalisation, également appelée anti-système, ont leurs conséquences. Une avalanche humaine a réussi à effrayer les intégrants du G-8 à Genève pour traiter "sa" politique économique. Le résultat le plus spectaculaire et en même temps le plus douteux est que l'on a déterrer la " taxe Tobin" sur les mouvements de capitaux pour former un fond d'aide au développement du Tiers-Monde. Seules surgiront de ce projet des positions trouvées sans aucun résultat pratique. Si nous voulons une anti-globalisation qui défende les principes fondamentaux de survie, il faut qu'elle soit créative. La capacité de convocation des contestataires de Genève ouvre le chemin sur de futurs actes similaires, mais il doivent être fondés sur des plans concrets d'emploi massif, car avec l'emploi viennent les rentrées d'argent et avec ces rentrées d'argent on peut combattre la pauvreté et la faim. Ce n'est pas suffisant de se montrer en faveur de l'emploi de façon abstraite. Il faut exiger l'adoption d'un projet qui crée maintenant des postes de travail en grand nombre. Nous devons accepter la réalité de l'expansion des multinationales, les spéculations boursières, les importations et exportations financières massives et les mouvements instantanés de capitaux dans tout le monde par un simple clic de souris d'ordinateur. Ce sont des lois écrites et non-écrites imposées par le marché au travers du libre-échange et cette réalité, incontestable, est irréversible. |
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PAR CONSÉQUENT , NOUS ALLONS ADHÉRER À L'ANTI-GLOBALISATION EN MONTANT DANS LE TRAIN DE LA GLOBALISATION, PROFITANT DES OPPORTUNITÉS QUE NOUS POURRONS OBTENIR DE CET INJURIANT MOUVEMENT DE CAPITAUX. |
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Ce n'est pas rentable d'attaquer abstraitement la globalisation. Le phénomène de la globalisation est un épisode du progrès de l'humanité : c'est une facette de plus du processus de développement humain amorcé avec la révolution industrielle et qui nous a conduit, petit à petit, de la machine à vapeur jusqu'aux prodiges de l'électronique, celle-ci étant la cause efficiente de l'évolution de la société, avec la Globalisation pour dernier maillon du développement. Nous devons l'accepter avec tous ses défauts et nous poser la question de savoir comment en profiter pour trouver des solutions immédiates aux nécessités urgentes. Le faire nous-même, ceux d'en-bas, car ceux d'en-haut s'occupent de politique et de finances, et les intérêts collectifs ne sont pas toujours prioritaires. |
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NOUS ALLONS D'ABORD GLOBALISER LE LOGEMENT, L'EMPLOI ET L'ÉDUCATION |
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Nous pouvons y arriver avec un Projet qui commence par la construction de logements pour combler le déficit dans ce secteur, avec un investissement NUL. La conséquence immédiate est la création d'emploi en masse et se termine par la libération des ressources destinées à l'éducation. C'est un système valable pour n'importe quel pays de n'importe quel continent, mais de là où nous sommes nous le dirigeons expressément à l'Union Européenne pour exécuter le Projet en solidarité avec les quinze pays membres, solidarité extensible à tous les pays aspirant à faire partie de l'UE. Le travail stable et continu proportionne des revenus pour acquérir un logement à un prix accessible, pour couvrir les besoins journaliers et, comme résultats en chaîne, la pauvreté disparaît, les maladies sont prises en charge, on accède à l'éducation, on utilise les intelligences condamnées à l'ostracisme. Le système libère les ressources suffisantes pour porter un secours réel aux pays du Tiers-Monde, en sauvant les êtres humains soumis à l'humiliation de naître et mourir de faim sans avoir la moindre opportunité de se sentir vivants, de contempler et de penser. En résumé, ce sont les objectifs que propose la Globalisation du logement. |
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GLOBALISER LE LOGEMENT |
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DESCRIPTION DU PROJET |
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Mise au point |
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Pour
expliquer de quelle façon il est possible de construire un nombre
quelconque de logements à un COÛT NUL, je dois présenter
la description du Projet de deux façons: une simple, dans laquelle
j'expose des chiffres facilement compréhensibles pour les personnes
qui ne sont pas habituées aux mathématiques financières,
et une autre détaillée, comme appui aux affirmations qui apparaissent
dans la forme simple. Bien qu'elles leur paraissent incroyables, les intégrants
du premier groupe doivent accepter comme véridiques mes affirmations
et chercher de l'aide auprès de personnes connaisseuses du mécanisme
des calculs pour leur confirmer l'exactitude de mes conclusions. Par conséquent,
tous les résultats qui servent de base aux commentaires sont exacts.
Ils peuvent être vérifiés par des experts en calcul
financier en analysant les détails dans le développement général
contenu dans les tableaux d'amortissement. Les chiffres qui apparaissent dans les calculs suivants n'ont pas un caractère absolu, mais relatif. Cela signifie qu'il existe entre eux une proportionnalité totale et qu'ils acceptent des variations aussi bien dans les types d'intérêts que dans les délais, prix de revient, prix de vente, ces derniers subissant une grande variation selon les secteurs où sont construits les logements. |
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Ressources disponibles sans endettement |
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- Imaginons le cas de 500 personnes qui veulent des logements de 100 m² et nous les leur fournissons au prix de 1 200 euros le m², à payer avec un versement initial de 15% et le reste en 30 ans avec un intérêt fixe de 6,75%, y compris l'assurance vie et quelques termes d'aide familiale. Ils devront payer chaque trimestre la quantité de 1 988 euros, ce qui représente 663 euros par mois. Si chaque personne paye 1 988 euros, nous encaisserons 994 000 euros chaque trimestre en concept d'amortissement. |
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- Dans ces conditions, nous pouvons nous endetter symboliquement en émettant des Bons à 7% d'intérêt fixe pendant 30 ans, que nous annulerons par des paiement trimestriels de 994 000 euros, quantité qui correspond à ce que nous encaissons des 500 acheteurs. Le montant de l'émission sera de 49 720 596 euros. |
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- On calcule un prix de vente au m² de 1 200 euros en moyenne, ce qui donne 60 000 000 d'euros pour les 500 logements. Le coût des 500 logements à 1 056 euros le m² ( prix de vente moins 12% ) coûteraient 52 800 000 euros plus environ 2% sur le prix de vente en frais administratifs, soit 1 200 000 euros. Par conséquent: coût de construction 52 800 000, plus administration 1 200 000, moins 9 000 000 dont nous disposerons dû aux 15% du taux initial( 15% de la valeur de vente 60 000 000 ) donne un résultat de frais d'investissement total nécessaire de 45 000 000 euros pour construire les 500 logements prévus. |
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- Le prix de vente est fixé sur la somme de trois valeurs: prix du terrain, coût de la construction et bénéfice industriel de 30 à 40 pour cent du terrain et de la construction. De ces 30 à 40 pour cent de bénéfice du constructeur, l'État participe avec 12% du prix de vente. La perte d'utilité du constructeur se voit largement compensée par le volume de contrats qui lui seront assignés. |
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- Si l'on considère que les gains obtenus par les Bons émis seront de 49 720 596 euros et l'investissement total de 45 000 000, il nous reste un excédent de 49 720 596 - 45 000 000 = 4 720 596 euros comme réserve ordinaire. On obtient ces résultats avec la construction de seulement 500 logements à COÛT NUL ( voir page 14 ). |
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Outre ces réserves ordinaires le Programme admet différentes projections d'obtention de fonds, entre autres, deux de réserves financières qui dépassent de loin les réserves ordinaires, (page 14 ); une troisième projection appelée excédents lesquels on obtient des gains suffisants pour amortir les Bons émis sur 30 ans, avec une prime nette de 50% de la valeur nominale. Ceci garantit les investissements à revenu fixe, aussi bien en rentabilité qu'en stabilité ( voir page 17 ); et pour finir les réserves d'une quatrième projection qui permet l'émission de Bons de type spécial, à échéance variable, sans primes d'amortissement et de l'argent meilleur marché, destiné à la construction de logements à louer pour les familles ayant moins de ressources, avec une remise de titre de propriété au bout de 20 ans. L'explication, le détail et les résultats de cette quatrième projection, je les laisse en suspens tant qu'il n'y a pas une volonté réelle d'exécuter le Projet qui soit démontrée au moyen d'actions concrètes. Je pense qu'il serait inopportun d'anticiper. Les chiffres antérieurs sont le résultat d'un programme de construction de 500 logements. Calculez le flux d'argent que peuvent accumuler les 15 pays de l'Union Européenne avec un premier programme de 500 000 logements par pays ( ceci ne couvrant pas ses besoins réels ), après avoir créé des postes de travail en masse. Ce sont des ressources destinées à la Recherche et au Développement et pour supprimer la pauvreté sans faire appel aux aides humanitaires, qui sont reçues avec humilité, reconnaissance et aussi avec une intime humiliation. |
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Développement complet de l'accumulation de ressources qui s'obtiennent dans un simple programme de construction de 500 logements à COÛT NUL |
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Construction de 500 logements en bâtiments collectifs Coûts. Ventes. Ressources nécessaires. |
Spécifications générales |
en EUROS |
Constructions de logements collectifs | 500 |
Superficie en m2 | 100 |
Prix de vente au m2 | 1.200 |
Prix de revient â 88% du prix de vente | 1.056 |
Versement initial en % | 15 |
Délai d'amortissement en années | 30 |
Intérêts d'hypothèque sur les montants débiteurs en % | 6,75 |
Amortissement des Bons en années | 30 |
Taux d'intérêt des Bons en % annuel | 7 |
Encaissement trimestriel par EURO financé | 0,01949161 |
Paiement trimestriel par EURO de Bons émis | 0,01999316 |
Frais administratifs sur prix de vente en % | 2 |
Prix de vente d'un logement de 100 m2 |
en EUROS |
Prix de vente | 120.000 |
Versement initial 15% | 18.000 |
Paiement échelonné à 6,75% en 30 ans | 102.000 |
Paiement trimestriel 102.000 x 0,01949161 | 1.988 |
Équivalent mensuel | 663 |
Opération globale |
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Coûts |
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500 logements de 100 m2 à 1 056 euros le m2 | 52.800.000 |
Ventes |
en EUROS |
500 logements de 100 m2 à 1 200 euros le m2 | 60.000.000 |
Encaissement de versements initiaux | 9.000.000 |
Financement sur 30 ans à 6,75% | 51.000.000 |
Recette trimestrielle ( voir page 8 ) | 994.072 |
Coût total |
en EUROS |
Coût de construction | 52.800.000 |
Frais administratifs 2% | 1.200.000 |
Frais à couvrir | 54.000.000 |
Montant disponible des versements iniciaux | 9.000.000 |
RESSOURCES NÉCESSAIRES |
45.000.000 |
Le tableau d'amortissement
nº1 signale que les acheteurs payent par trimestre |
994.072 |
Cette même quantité
994 072 servira pour annuler l'émission de Bons émis à 7% du montant du quotient: |
994.072 |
994.072 quantité disponible |
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_____________________________ = | 49.720.596 |
0,0199931675 amortissement unitaire |
En établissant une égalité entre les droits actifs d'encaissement et les obligations passives d'amortissements de Bons, on démontre la CONSTRUCTION ILLIMITÉE DE LOGEMENT À COÛT NUL. |
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TABLEAUX D'AMORTISSEMENT 1 ET 2 |
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CONSTRUCTION DE 500 LOGEMENTS DE 100 M2 Tableau nº 1 - Amortissement trimestriel hypothèque des acheteurs. En EUROS |
Trim | Capital initial | Taux amort 994.072 | Intérêts 6,75 | Capital amorti | Capital restant dû. |
1 | 51.000.000 | 994.072 | 860.625 | 133.447 | 50.866.553 |
2 | 50.866.553 | 994.072 | 858.373 | 135.699 | 50.730.854 |
3 | 50.730.854 | 994.072 | 856.083 | 137.989 | 50.592.865 |
4 | 50.592.865 | 994.072 | 853.755 | 140.318 | 50.452.547 |
5 | 50.452.547 | 994.072 | 851.387 | 142.685 | 50.309.862 |
6 | 50.309.862 | 994.072 | 848.979 | 145.093 | 50.164.768 |
7 | 50.164.768 | 994.072 | 846.530 | 147.542 | 50.017.226 |
8 | 50.017.226 | 994.072 | 844.041 | 150.032 | 49.867.195 |
9 | 49.867.195 | 994.072 | 841.509 | 152.563 | 49.714.632 |
10 | 49.714.632 | 994.072 | 838.934 | 155.138 | 49.559.494 |
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- | |||||
107 | 12.303.449 | 994.072 | 207.621 | 786.452 | 11.516.998 |
108 | 11.516.998 | 994.072 | 194.349 | 799.723 | 10.717.275 |
109 | 10.717.275 | 994.072 | 180.854 | 813.218 | 9.904.056 |
110 | 9.904.056 | 994.072 | 167.131 | 826.941 | 9.077.115 |
111 | 9.077.115 | 994.072 | 153.176 | 840.896 | 8.236.219 |
112 | 8.236.219 | 994.072 | 138.986 | 855.086 | 7.381.133 |
113 | 7.381.133 | 994.072 | 124.557 | 869.516 | 6.511.618 |
114 | 6.511.618 | 994.072 | 109.884 | 884.189 | 5.627.429 |
115 | 5.627.429 | 994.072 | 94.963 | 899.109 | 4.728.320 |
116 | 4.728.320 | 994.072 | 79.790 | 914.282 | 3.814.038 |
117 | 3.814.038 | 994.072 | 64.362 | 929.710 | 2.884.328 |
118 | 2.884.328 | 994.072 | 48.673 | 945.399 | 1.938.928 |
119 | 1.938.928 | 994.072 | 32.719 | 961.353 | 977.576 |
120 | 977.576 | 994.072 | 16.496 | 977.576 | 0 |
Tableau nº 2 - Amortissement trimestriel de Bons. En EUROS |
Trim | Capital 49.720.596 | Taux amort 994.072 | Intérêts 7 | Capital amorti. | Capital restant dû. |
1 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 123.962 | 49.596.635 |
2 | 49.596.635 | 994.072 | 867.941 | 126.131 | 49.470.503 |
3 | 49.470.503 | 994.072 | 865.734 | 128.338 | 49.342.165 |
4 | 49.342.165 | 994.072 | 863.488 | 130.584 | 49.211.581 |
5 | 49.211.581 | 994.072 | 861.203 | 132.870 | 49.078.711 |
6 | 49.078.711 | 994.072 | 858.877 | 135.195 | 48.943.516 |
7 | 48.943.516 | 994.072 | 856.512 | 137.561 | 48.805.956 |
8 | 48.805.956 | 994.072 | 854.104 | 139.968 | 48.665.988 |
9 | 48.665.988 | 994.072 | 851.655 | 142.417 | 48.523.570 |
10 | 48.523.570 | 994.072 | 849.162 | 144.910 | 48.378.661 |
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- | |||||
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111 | 9.047.273 | 994.072 | 158.327 | 835.745 | 8.211.528 |
112 | 8.211.528 | 994.072 | 143.702 | 850.370 | 7.361.157 |
113 | 7.361.157 | 994.072 | 128.820 | 865.252 | 6.495.905 |
114 | 6.495.905 | 994.072 | 113.678 | 880.394 | 5.615.512 |
115 | 5.615.512 | 994.072 | 98.271 | 895.801 | 4.719.711 |
116 | 4.719.711 | 994.072 | 82.595 | 911.477 | 3.808.234 |
117 | 3.808.234 | 994.072 | 66.644 | 927.428 | 2.880.805 |
118 | 2.880.805 | 994.072 | 50.414 | 943.658 | 1.937.147 |
119 | 1.937.147 | 994.072 | 33.900 | 960.172 | 976.975 |
120 | 976.975 | 994.072 | 17.097 | 976.975 | 0 |
Le tableau nº 1 signifie que en payant 994 072 euros par trimestre, les acheteurs annulent leur débit hypothécaire pour un total de 51 000 000 euros. Le tableau nº 2 indique à son tour que, avec la quantité de 994 072 euros reçus des acheteurs chaque trimestre, nous amortissons avec le même montant les Bons émis pour une valeur de 49 720 596 euros, avec la liquidation suivante, en accord avec les spécifications générales. |
Revenu comptant par l'émission des Bons | 49.720.596 euros |
Investissement dans la construction de 500 logements | 45.000.000 euros |
___________________________________________________________ | “Réserves ordinaires” à libre disposition | 4.720.596 euros |
Avec les deux tableaux d'amortissement précédents et la liquidation des résultats, on démontre non seulement la réalité de la ci-dessus mentionnée construction illimitée de logement à coût NUL pour l'État, mais aussi que l'on produit près de 5 millions d'euros de réserves ordinaires, destinées, de préférence, à l'éducation. Le système est intégralement proportionnel depuis la construction d'un logement jusqu'au nombre d'unités nécessaires. Si nous nous limitons à coordonner des droits actifs avec des obligations passives, on construit des logements, on attaque le chômage sans aucun investissement et il reste de surcroît un bénéfice. Mais là n'est pas le seul objectif du Projet. Il va bien au delà car nous pouvons disposer d'un outil puissant pour créer de plus les “réserves financières” bien supérieures aux “réserves ordinaires” ( voir lien 6 ), et aussi les dénommés “excédents”, très importants par leur volume. |
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TABLEAUX D'AMORTISSEMENT 3, 4 ET 5 |
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Dans les tableaux 1 et 2 précédents, nous constatons que les taux d'amortissement périodiques comprennent deux parties. La première représente les intérêts sur les soldes débiteurs et la seconde, une fraction destinée au remboursement du capital. D'autre part, nous savons que les intérêts échus, considérés comme rendement du capital, sont sujets au paiement d'un impôt avec retenue à l'origine. Quant à la périodicité de l'amortissement, comme émetteurs des Bons, nous pouvons l'établir ou mensuelle, ou trimestrielle ou annuelle ou bien opter pour un seul amortissement à terme, ce qui aura pour conséquence des intérêts fixes ainsi que des retenues imposables fixes; en outre, il restera un excédent constant formé par la partie du taux d'amortissement destinée au remboursement du capital, que nous gardons dans un but facultatif. Par conséquent, si nous choisissons le procédé d'un seul amortissement à terme et de paiements d'intérêts constants trimestriels, le tableau nº 2 précédent se trouve modifié par l'introduction de deux nouvelles colonnes " retenues " et " excédents". Quant aux retenues imposables sur la valeur du capital, je dois signaler qu'il n'existe pas encore, au sein de l'UE, d'harmonie sur le type. En Espagne, c'est 18%, mais pour poursuivre avec le développement du thème nous allons imaginer un type unique de retenues de 12% dans le cadre de l'UE. De telle sorte que le tableau nº 3 devient: |
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Tableau nº 3 : Amortissement de BONS en euros. Amortissement FINAL, à 30 ans PREMIÈRE ÉMISSION. Intérêts trimestriels |
Trim | Capital 49.720.596 | Taux amort 994.072 | Intérêts 7 | Retenues 12 | Excédents |
1 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
2 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
3 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
4 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
5 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
6 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
7 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
8 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
9 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
10 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
11 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
12 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
13 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
14 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
15 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
- | |||||
- | |||||
- | |||||
106 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
107 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
108 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
109 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
110 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
111 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
112 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
113 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
114 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
115 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
116 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
117 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
118 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
119 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
120 | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 104.413 | 123.962 |
119.288.665 | 104.413.252 | 12.529.590 | 14.875.413 | ||
12.529.590 | |||||
104.413 | |||||
SEGONDE EMISSION possible | 5.222.447 |
Ce tableau nº 3 nous indique : 1- que au cours de 30 ans, on aura payé 104 413 252 euros d'intérêts au total 2- que durant cette même période, il y aura eu des retenues pour impôts de 12% des intérêts payés, soit 12 529 590 euros 3- que chaque trimestre nous aurons un revenu de 104 413 euros en retenue. Ces revenus sont nets, sans contrepartie d'endettement et nous pouvons donc les destiner à l'amortissement d'une seconde émission de Bons dont le taux d'amortissement trimestriel sera égal à 104 413 euros. La valeur nominale de l'émission sera de 5 222 447 euros ( quotient entre 104 413 de recette trimestrielle et le taux d'amortissement unitaire 0,0199931675 ). Voir les spécifications générales Le tableau d'amortissement de la seconde émission serait: |
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Tableau nº4 : Amortissement de BONS en euros. Amortissement FINAL, à 30 ans SECONDE ÉMISSION. Intérêts trimestriels |
Trim | Capital 5.222.447 | Taux amort 104.413 | Intérêts 7 | Retenues 12 | Excédents |
1 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
2 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
3 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
4 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
5 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
6 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
7 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
8 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
9 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
10 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
11 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
12 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
13 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
14 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
15 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
- | |||||
- | |||||
- | |||||
106 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
107 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
108 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
109 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
110 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
111 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
112 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
113 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
114 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
115 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
116 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
117 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
118 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
119 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
120 | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 10.967 | 13.020 |
12529590 | 10967138 | 1.316.057 | 1.562.452 |
Par le même procédé, nous disposerons de la SECONDE émission, en concept de retenues pour impôts, d'un revenu de 10 967 euros par trimestre, qui peuvent être destinés à l'amortissement d'une TROISIÈME émission de valeur nominale égale au quotient de 10 967 / 0,0199931675, soit 548 544 euros, avec le tableau d'amortissement suivant: |
Tableau d'amortissement nº 5 Amortissement de BONS en EUROS. Amortissement FINAL, à 30 ans TROISIÈME ÉMISSION |
Trim | Capital 548.544 | Taux amort 10.967 | Intérêts 7 | Retenues 12 | Excédents |
1 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
2 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
3 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
4 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
5 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
6 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
7 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
8 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
9 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
10 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
11 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
12 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
13 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
14 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
15 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
- | |||||
- | |||||
- | |||||
106 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
107 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
108 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
109 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
110 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
111 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
112 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
113 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
114 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
115 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
116 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
117 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
118 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
119 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
120 | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.152 | 1.368 |
1.096.714 | 959.953 | 115.194 | 136.761 |
Ci-dessous, un premier résumé des résultats obtenus | ||
RÉSUMÉ du Programme de construction de 500 logements de 100 m2, amortissement FINAL, en 30 ans, en EUROS | ||
PREMIÈRE émission de Bons | 49.720.596 | |
Investissement dans la construction de 500 logements | 45.000.000 | |
Réserves ordinaires | 4.720.596 | |
SECONDE émission | 5.222.447 | |
TROISIÈME émission | 548.544 | |
Réserves financières | 5.770.991 | |
Réserves totales par Programme de 500 logements | EUROS 10.491.587 | |
Ce sont des ressources libres pour investir |
Il est nécessaire que ces retenues ne soient pas comptabilisées comme revenus dans le budget de l'État pour que le Projet prospère. Elles doivent être administrées de façon indépendante pour la simple raison qu'elles naissent à travers un Programme agressif de construction massive de logements dont les coûts ne font pas partie du Budget des dépenses et ne sont pas non plus inclus dans ses prévisions de financement. Dans ces conditions, l'État ne peut absorber une source directe de financement atypique pour ses propres besoins. Les revenus pour l'État doivent être produits de sa gestion directe. Il aura des bénéfices quand le Programme apportera des revenus résultant de plus de travail, moins de chômage et plus de consommation. La consommation sera le moteur de l'augmentation soutenue de l'activité économique. Si l'État n'investit pas, il n'y a pas de raison pour utiliser les revenus issus d'activités parallèles. Sa fonction doit être uniquement protectrice, de soutien et de surveillance pour une correcte gestion du système, mais sans droit d'absorption directe des résultats. Il en découle la nécessité de deux Budgets généraux, l'un de Revenus et Dépenses de l'État et l'autre de libération de ressources et leur investissement permanent. L'État devra employer deux systèmes de gestion des ressources, parallèles et indépendants : un qui s'occupe des Budgets Généraux et l'autre qui gère de façon autonome les fonds fournis par les réserves financières dérivées d'un processus spécial de capitalisation ayant pour résultat la formation d'un patrimoine par la séparation administrative de concepts fiscaux et non d'impôts. Il se crée une forme autonome de financement qui n'a rien à voir avec les Budgets généraux de dépenses et revenus. Nous nous trouvons dans un cas particulier où les retenues d'impôt ne peuvent être considérées comme des droits comptabilisables dans la perception normale car ils proviennent d'une activité spéciale non considérée dans les Budgets généraux. Dans le système d'administration parallèle, les États de l'Union Européenne mettent à part cette perception spéciale pour l'utiliser comme taux d'amortissement d'émission de Bons. Il ne peut y avoir, sur ce point, aucune objection tout d'abord parce que les États bénéficient des investissements des réserves formées et peuvent créer des emplois et ensuite parce que, par voie ordinaire, l'Administration incrémentera ses recettes en raison d'une activité économique plus importante, provoquée par les investissements des réserves financières dans des projets communautaires concrets, indépendants des Budgets généraux des États membres. |
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BONS ÉMIS PAR L'UNION EUROPÉENNE |
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Il est nécessaire de faire une parenthèse pour traiter deux points directement en rapport avec le Projet : le volume qui peut être atteint par l'émission de Bons et le comportement et l'approbation des marchés financiers face à de telles émissions. Pour expliquer le fondement de mon opinion sur ces deux extrêmes, j'utiliserai le résumé suivant des trois émissions de Bons qui figurent dans l'exécution d'un programme de 500 logements. |
EUROS | Nominal Bons | Taux amort. | Intérêts | Excédents |
PREMIÈRE émission | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 123.962 |
DEUXIÈME émission | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 13.020 |
TROISIÈME émission | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.368 |
Totaux | 55.491.587 | 1.109.452 | 971.103 | 138.350 |
La première chose que l'on remarque, c'est que dans la construction d'un petit ensemble de 500 logements, auto-financé, c'est-à-dire de coût NUL pour l'État, trois émissions de Bons ont été programmées, représentant un total de 55 491 587 euros et cela a engendré des réserves ou plus-values d'une valeur de 10 491 587 euros ( page ). Ce sont des chiffres importants mais ils sont insignifiants si l'on considère le manque de logements au niveau de l'UE. Nous devons par conséquent doter les Bons européens de caractéristiques alléchantes en deux offres clef : sécurité et rentabilité. Voyons l'analyse suivante: |
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1. Les Bons en euros émis par l'UE offrent une garantie réelle, car ils sont liés à des dettes hypothécaires en vigueur, ayant elles-même la garantie du travail des emplois stables promus et garantis par le même système. Dans le cas où ce ne serait pas suffisant, ils ont une autre garantie réelle complémentaire qui provient d'un nouveau système de financement et cumul de ressources économiques. La PREMIÈRE émission est garantie par les hypothèques des acheteurs; la SECONDE et la TROISIÈME émission sont garanties par la perception certaine d'impôts sur les intérêts du capital. |
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2. Les Bons qui seront émis par l'Union Européenne ne sont pas des dettes, et ne représentent pas non plus des charges de capital ni d'intérêts. Les Bons de l'État, les Bons USA et les Bons émis par n'importe quelle Nation à moyen ou à long terme, sont des dettes de l'État et il doit prévoir dans ses Budgets des rubriques de dépenses telles que " Service de la dette ". |
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3. En tant que refuge de l'épargne, les Bons de l'Union Européenne offriront des avantages supérieurs en raison de: |
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a) La stabilité. C'est un type d'intérêt supérieur, fixe, qui n'est pas sujet aux oscillations du marché influencé par les types d'intérêt fixés par les Banques Centrales. En raison des réserves formées, les intérêts peuvent toujours se trouver un point au dessus du prix de l'argent en cours. | |
b) Capitalisation de l'épargne. Chaque année, la valeur des Bons augmente de 1,66% en raison de l'existence de la revalorisation sûre de 50% net à échéance. Cette circonstance l'emporte sur n'importe quel autre investissement à revenu fixe. Vu qu'ils sont amortis au bout de 30 ans, la prime de 50% qu'auront les Bons joue également, avec la possibilité que cette prime varie en hausse , sur la base des “excédents”, masse d'argent destinée à la Recherche et au Développement, aux Programmes industriels, agricoles et d'infrastructure. | |
C'est un sujet complexe que d'évaluer l'attitude des marchés financiers envers les émissions successives de Bons en euros, et dans le but que chacun se forge sa propre opinion, il serait peut-être opportun de comparer deux blocs ayant un grand pouvoir économique mais aux caractéristiques politiques différentes. D'une part, nous avons les États-Unis, formant une seule nation, une seule volonté politique, et ayant une langue et une monnaie dominantes. D'autre part, il y a l'Union Européenne, jusqu'à présent 15 nations, avec de multiples langues et avec l'espoir que l'euro s'affirme en tant que monnaie unique. Vu ainsi et de façon simpliste, nous pouvons affirmer que les États-Unis sont un bloc politique compact, avec une monnaie prépondérante soutenue par le pouvoir de son économie. Par contre, l'Union Européenne, qui a aussi un pouvoir économique, s'appuie sur une volonté politique dépendante des circonstances internes de chaque Nation souveraine. Cette souveraineté peut modifier, par référendum libre, les relations avec les autres Nations, rompant ou freinant l'équilibre et la stabilité existant à un moment donné. Il doit s'écouler beaucoup de temps, voire plusieurs générations avant que l'Union Européenne forme un bloc politique similaire aux États-Unis. Dans cette situation, les États-Unis n'ont aucun problèmes pour émettre des Bons de la Dette, refuge de l'épargne qui cherche une sécurité dans son investissement car elle fait confiance à la Nation et à son économie, sécurité pour les personnes et pour les États comme moyen de consolider leurs réserves. Mais il existe une différence fondamentale entre les Bons USA et les bons de l'Union Européenne. Les premiers n'ont pas de garantie réelle. L'étalon-or d'autrefois n'existe que dans les livres. Le crédit a remplacé la matérialisation des garanties. Par contre, les Bons de l'Union Européenne auraient bien une garantie réelle, qui ne serait aucun pourcentage en métaux précieux mais une garantie physique, totale, sous forme d'hypothèques garanties par un travail constant, et des revenus périodiques concrétisés par les retenues d'impôts sur les intérêts du capital. Arrivé à ce point, il est tout à fait licite de penser que, aussi bien les Bons Européens que l'euro seraient des biens de réserve acceptés et souhaités par les marchés financiers, par les États et par les particuliers. L'Europe ne forme pas un bloc politique homogène, ce qui est un facteur négatif. Nous ne pouvons pas non plus dire qu'elle forme un corps économique unique car elle est la somme de plusieurs ensembles hétérogènes. Nous devons chercher la cohésion européenne dans la formation d'un bloc économique singulier, qui ne peut être une représentation générale formée par l'industrie, l'agriculture et la pêche ou par des produits économiques propres de secteurs géographiques concrets, car cela dénonce les différences nationales excluantes. Ce doit être un composé de secteurs particulier, de création nouvelle, d'impulsion commune, dans un secteur de biens répondant à un besoin général, souhaités, de longue durée, revalorisés et transmissibles. Personnellement, je considère que ce secteur doit être l'industrie de la construction de logements auto-financés. Ce sera un secteur économique financé par l'émission de Bons en euros, amalgamant l'énergie de 375 millions d'européens et profitant ainsi d'une affinité économique, conséquence d'une volonté politique, pour éviter des désaccords, pensant uniquement aux objectifs communs. Un projet pour offrir des logements à ceux qui les souhaitent et pour les payer en 30 ans. Une partie, déterminée à l'avance, des capitaux obtenus sera destinée à la construction de logements. Une autre partie très importante, obtenue au cours du processus de construction pour et par les États membres, sera à libre disposition au sein du cadre prévu, en vue du progrès et du bien-être interne et général... et de COÛT NUL. J'insiste sur une autre différence, déjà signalée, entre les Bons en euros et les Bons en dollars émis par les États-Unis. Les Bons en euros de l'Union Européenne ne constitueront aucune dette et par conséquent les intérêts payés ne seront pas non plus une charge. En revanche, les Bons USA représentent une dette de l'État et les intérêts constituent une part importante de dépenses. Les bons européens, tels que je les ai conçus, pourront toujours payer des intérêts d'un point supérieurs aux types du marché si on le juge nécessaire et, de plus, l'amortissement sur 30 ans se fera avec une prime fixe de 50% net de sa valeur nominale, toujours susceptible de varier en hausse. Dans ces conditions, l'euro cessera d'être une monnaie avec des problèmes spéculatifs provoqués assez fréquemment par des facteurs externes qui dominent les marchés financiers, pour devenir une monnaie solide, de réserve et de refuge, comme le dollar. Et nous, les Européens, nous disposerons des moyens nécessaires pour configurer une unité économique indestructible, qui nous protègera de n'importe quelle division politique. |
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CONCEPT ET ANALYSE DES EXCÉDENTS |
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Nous allons maintenant passer à l'analyse de ce que nous avons appelé “les excédents” et leur pouvoir de capitalisation. Les “excédents” sont la différence entre le taux d'amortissement et les intérêts payés par les BONS. En réalité, c'est la partie du taux d'amortissement trimestrielle destinée à l'amortissement du capital, partie que nous réservons pour la capitaliser et reconstruire la valeur nominale des Bons. Les “excédents” apparaissent seulement dans les derniers amortissements. Pour pouvoir évaluer le potentiel de génération de fonds qui est consubstantiel au système, regroupons les excédents des trois émissions de Bons avec amortissement FINAL dans le tableau suivant, déjà utilisé auparavant pour analyser le complexe des “réserves financières”. |
EUROS | Nominal Bons | Taux amort. trimestriel | Intérêts | Excédents |
PREMIÈRE émissio | 49.720.596 | 994.072 | 870.110 | 123.962 |
DEUXIÈME émissio | 5.222.447 | 104.413 | 91.393 | 13.020 |
TROISIÈME émission | 548.544 | 10.967 | 9.600 | 1.368 |
Totaux | 55.491.587 | 1.109.452 | 971.103 | 138.350 |
La dernière colonne indique que nous disposerons de 138 350 euros tout les trois mois pendant 30 ans, destinés à des investissements et des réinvestissement qui rapportent 7% minimum pour reproduire le nominal des émissions. Dans ces conditions, il est juste de considérer ces 138 350 euros comme le terme constant d'un revenu, payable postérieurement, à un intérêt de 7% annuel en 120 périodes de capitalisation. |
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Avec les tables financières, nous pouvons chercher la valeur finale de ce revenu de la façon suivante: |
n | ||
(l+i) - l | ||
S = R*Sn, où Sn = | ----------- , | dont les symboles correspondent à |
i | ||
Sn = Montant du revenu unitaire | ||
i = Pourcentage d'intérêt unitaire | ||
n = Période de capitalisation | ||
S = Valeur du montant du Revenu de terme R | ||
R = Terme du Revenu |
Mais il est
plus facile d'utiliser les feuilles de calculs fournies par les programmes
informatiques, et dans ce cas les résultats seraient définis
à partir de la formule suivante S = @valfut(138.350;7/100/4;30*4)= 55.491.587 = valeur nominale des Bons. Nous devons considérer que le prorata de capitalisation de 7% a été établi exclusivement pour montrer comment se reproduit le capital initial exigible au bout de 30 ans. Mais il est évident que le fait de disposer de 138 500 euros par trimestre nous permet de réaliser des projets de grande envergure dont nous souhaitons un rendement minimum, presque symbolique de 12% par an. Si nous tenons compte du fait qu'il n'existe pas de paiement de dividendes mais des réinvestissements de bénéfices, la valeur de la capitalisation serait, |
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S = @valfut(138.350;12/100/4;30*4) = 155.463.836 euros | |
Conscients que
les résultats seront inférieurs, nous utiliserons des investissements
et capitalisation annuels comme mesure conservatrice, et dans ce cas le
terme R serait : 138 350*4 = 553 400 et la valeur finale disponible au bout de 30 ans, calculée par tables 553 400 x 241,33268434 = 133 553 508 euros. |
Valeur nominale Bons amortis | 55.491.587 | |
Prime d'amortissement, nette | 27.745.793 | |
Prévision pour impôts 12% | 3.783.517 | 87.020.897 |
il restera plus de 46 millions d'euros | 46.532.611 |
comme réserve
pour augmenter les primes d'amortissement, en cas de besoin pour obtenir
des capitaux. L'étude de n'importe quel Projet de développement
en conformité avec son volume peut être ouverte, comptant à
l'avance sur le financement adéquat, sans attendre 30 ans. En relation avec tout ce qui a été écrit jusqu'à présent, je dois faire remarquer que des opérations financières de plusieurs millions d'euros sont combinées, trouvant leur origine dans un simple Programme de construction de 500 logements financés par des Bons à 7%. Le Programme coûte ZÉRO au Trésor Public. |
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Capacité et réponse des marchés financiers face à l'émission des BONS DE L'UNION EUROPÉENNE |
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À un moment donné, j'ai demandé quelle pouvait être la réponse des marchés à l'émission des Bons de l'Union Européenne. Indépendamment, cela peut devenir un facteur décisif de la lutte contre la pauvreté dans le monde. Cette affirmation se base sur le fait que la pauvreté est la conséquence du manque de ressources, et l'absence de ceux-ci est due au manque de revenus et, par extension, au manque de travail. Avec du travail, la vie change et la pauvreté disparaît. Mais ces raisons sont secondaires pour celui qui investit et ils accepteront les Bons parce qu'ils réunissent les exigences de sécurité et de rendement. Je ne vais pas refuser d'analyser la capacité des marchés financiers pour absorber la grande quantité de Bons susceptibles d'être mis en circulation, si nous prenons comme référence le volume des émissions avec un simple programme de 500 logements. Si nous programmons un Projet de 500 000 logements pour chaque pays de l'Union Européenne , multiplions par 15 000 le montant des réserves ordinaires et des réserves financières qui figurent dans les tableaux précédents et nous verrons que tout deux atteignent plusieurs milliards d'euros. C'est chercher une inconnue que de vouloir quantifier , parmi la masse de capitaux spéculatifs qui bougent constamment à la recherche de bénéfices, la partie proportionnelle qui puissent correspondre à l'épargne d'une citoyenneté étrangère à l'utilisation de ses économies dans un système global de crédit; mais il n'y a aucun doute sur le fait que c'est une quantité importante. Par conséquent, on peut affirmer que les comptes d'épargne des citoyens de l'UE sont volumineux et ont une importance privilégiée comme objectif à capter pour investir en Bons européens, garantis et rentables. Il ne faut pas non plus mettre à l'écart les fonds d'inversion qui se réfugient dans les intérêts fixes, avec une rentabilité inférieure aux 7% des Bons européens ou les investissements des compagnies d'assurances pour matérialiser leurs réserves techniques, parmi d'autres nombreuses possibilités latentes d'une importance extraordinaire. Il n'y a aucun problèmes si l'on limite les émissions de Bons car le système reste intact. La première émission de Bons sera toujours assurée car elle est intimement liée à la demande de logements. Avec 500 logements par pays ce serait un Programme de 7500 logements et les réserves ordinaires dépasseraient les 70 millions d'euros destinés à l'éducation, après avoir facilité l'acquisition de logements et avoir des postes de travail sans que les 15 pays de l'Union Européenne ait investi un seul euro. Les Bons, d'intérêt fixe, rejettent toute sorte de spéculation. L'important, c'est qu'ils offrent sécurité et rendement élevé dans leur catégorie. Ce sont deux attributs recherchés dans l'épargne. Il ne peut y avoir de surprises ni de manipulation de l'information. Ni intervention de brokers, ni information privilégiée, ni dents de scie dans les cotisations. Un autre élément à prendre en compte est celui des excédents qui ne sont liés à aucune émission de Bons, prêts à investir et qui, de par leur volume, aident à promouvoir la Recherche et le Développement. Ils permettent aussi l'exécution de grands projets d'infrastructure basés sur la capitalisation annuelle des résultats pour prendre en charge les primes d'amortissement de 50% pour toutes les émissions de Bons, avec échéance à 30 ans. Dans la présentation du site Web, faisant référence à la Commission Européenne, j'écris : " Par conséquent, la première action des ONG, unies en une volonté unique, est de faire en sorte que la Commission reçoive le Projet pour l'analyser sérieusement ". Mais ailleurs je dis, et je le répète ici : " que le système que je propose est proportionnel et autonome et qu'il peut être exécuter dans n'importe quel pays de n'importe quel continent". Ceci signifie qu'il est dirigé de préférence à l'Union Européenne car il pourrait être exécuté simultanément et immédiatement par 15 États souverains plus ceux qui sont en attente d'intégration. Environ 500 millions de citoyens pourraient bénéficier du potentiel économique généré par la construction de logements, mais sans que cela représente un obstacle pour que un ou plusieurs pays, individuellement ou collectivement, décident d'accélérer le système sans attendre que la bureaucratie des quinze arrive à l'unanimité de critères. Mais il y a autre chose. N'importe quel pays, dans ou en dehors de l'Union Européenne, peut le transformer en son propre projet et l'appliquer dans les proportions qui l'intéressent. Ils peuvent parfaitement se limiter à la partie la plus simple : construire des logements en fonction de la demande interne et limiter l'émission de Bons aux besoins de la construction. Ces Bons trouveront très certainement leur place parmi l'économie interne et on aura réussi à créer des emplois, fournir des logements, stimuler le croisement économique, créer des petites réserves destinées à l'éducation et tout ça sans aucun investissement des États, sans endettement c'est-à-dire avec UN COÛT NUL. La conséquence immédiate en est que les ONG locales doivent être totalement autonomes pour prendre des décisions, sans attendre que de telles actions aient un caractère général. En résumé : les premières actions des ONG européennes, unies dans une volonté unique, consisteraient à faire en sorte que la Commission reçoive le Projet afin de l'analyser sérieusement. Les actions complémentaires sont du ressort des ONG locales qui, avec leur autonomie pour prendre des décisions, ne doivent pas attendre que de telles actions prennent un caractère général. Elles peuvent promouvoir le projet de construction de logements dans leur propre pays, avec une acceptation générale. Je ne crois pas me tromper en affirmant que les Bons de l'UE auraient une acceptation incomparable, en raison de leur sécurité et de leur rendement. |
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DÉFI FINAL. Le soutien des moyens de communication doit être déterminant Ce site Web n'a pas pour but de s'exhiber sur le réseau à la recherche de protagoniste. Comme disent les nouvelles générations, " j'en ai rien à foutre ". Ma proposition est réelle, aussi réelle que la pauvreté et la mort par inanition de millions d´êtres humains. Ce site Web ne peut pas être regardé superficiellement car il directement relié à la défense des droits de survie de personnes, non pas semblables mais identiques à celles qui ont eu le privilège de naître dans des pays dont l'état de pauvreté est quelque chose de relatif et toujours déterminé par le manque de travail. Il n'y a jamais de pauvreté extrême collective. Mais si nous considérons les pays où la pauvreté est endémique et fait partie intime des attributs des personnes tels la respiration ou la circulation du sang dans le corps, il est inadmissible de rester en marge ou même tout simplement détourner le regard en pensant que ce n'est pas notre problème . C'est un crime de cette société que le Projet ne soit pas étudié ni exécuté alors qu' aucune aide économique n'est demandée à personne, et c'est quelquefois le plus douloureux. On ne demande pas de contributions; au contraire, on propose des logements, du travail, du développement, chaleur humaine et amour au prochain désavantagé. On offre l'occasion d'attaquer la pauvreté et que l'être humain puisse naître, se nourrir, grandir, avoir une éducation, qu'il se sente conscient d'exister et qu'il ait l'opportunité de se réaliser librement. Je crois que c'est là que les moyens de communication devraient intervenir, pour promouvoir et soutenir des ONG internationales de lutte contre la pauvreté. Ça ne suffit pas de se lamenter et d'avoir l'air scandalisé en informant que entre mille et deux mille millions d'être humains survivent avec moins d'un dollar par jour, et que beaucoup d'autres sans ce misérable revenu pullulent, immergés dans une pauvreté extrême; ça ne suffit pas de montrer des photographies incroyables d'enfants exhibant pratiquement leur squelette, prélude de la mort. Ils peuvent faire quelque chose de plus. Ils ont en main l'information, le pouvoir de demander à tous les secteurs cités, à ceux auxquels je me suis dirigé avec des dossiers détaillés et dont je n'ai reçu aucun commentaire, comme s'ils étaient les dieux de l'Olympe, quels sont les motifs pour lesquels ils adoptent une telle attitude. Leur exiger qu'ils se prononcent une fois pour toutes, au moyen d'arguments raisonnés , comme quoi le Projet n'a ni queue ni tête, que mes calculs basés sur les mathématiques financières, sont erronés. Et s'il n'en est pas ainsi, que ce soient les moyens de communication ceux qui assument la lutte réelle contre la pauvreté dans le monde avec le moyen que je leur fournis. Ce sont eux qui peuvent éveiller et faire vibrer les fibres sensibles que tout être humain porte en lui. De toute façon, même si comme ça je n'obtiens pas d'appuis, que Dieu les pardonne, mais je ne vais pas baisser les bras ni me rendre. NI LES ONG MONDIALES NI LES MOYENS DE COMMUNICATION PEUVENT RESTER LES BRAS CROISÉS, EN MARGE. CE SERAIT SE REFUSER SOI-MÊME. MON AIDE TECHNIQUE EST INCONDITIONNELLE |